Cet utilisateur de LinkedIn se plaint, à l'occasion du lancement du répertoire de groupes, des incohérences entre les annonces, l'aide en ligne et les services réels, sans s'étendre sur l'ergonomie de la correction qui lui est demandée.
Quoi de plus normal pourtant de voir que les budgets de LinkedIn vont vers le dimensionnement de serveurs capables de supporter son succès, et encore plus vers le développement nécessaires pour les services payants, liés à la recherche de personnes.
La partie gratuite doit donc être le parent pauvre, tout juste rafraîchi quand le manque d'investissement devient dangereux.
On trouve donc ces fonctions de groupes qui se ramènent quasiment à la collection de pin's de notre jeunesse.
Bon il paraît que tous les hommes politiques belges sont dans FaceBook, est-ce vraiment mieux?
Quoi de plus normal pourtant de voir que les budgets de LinkedIn vont vers le dimensionnement de serveurs capables de supporter son succès, et encore plus vers le développement nécessaires pour les services payants, liés à la recherche de personnes.
La partie gratuite doit donc être le parent pauvre, tout juste rafraîchi quand le manque d'investissement devient dangereux.
On trouve donc ces fonctions de groupes qui se ramènent quasiment à la collection de pin's de notre jeunesse.
Bon il paraît que tous les hommes politiques belges sont dans FaceBook, est-ce vraiment mieux?